Pour faire dans l'originalité, froid, distant, associable, misanthrope -quoique, pas pour un chat, mais m'voyez c'que j'veux dire, non ? Vous êtes intelligent ?- ainsi que misogyne, toussa, toussa. (Et là vous flippez grave parce que vous pensez que j'me fous de votre gueule avec une présentation comme ça. C'est fais exprès. Mais avec mes conneries, je vais avoir mes lignes requises. (ﾉ◕ヮ◕)ﾉ*:･ﾟ✧Okay, j'me fous d'vous. C'est en cours, alors pour le moment, c'est plus post-it qu'autre chose.)

« Il n'y a pas pire châtiment, pire horreur, que de transformer un instant en éternité. »

Tu te promenais ce jour là. Tranquillement. Le chat domestique que tu étais, engraissé à la pâté par tes maîtres comme on gave les oies pour en faire du  foies gras lorsque les fêtes de fin d'année arrivent, ne se doutait de rien. Tu avait sauté sur la barrière mollement, mais il n'y eu que tes pattes avants qui attrapèrent le haut de la balustrade en bois où tu essayas dit planter tes griffes.
Dommage, tes maîtres te les ont coupées il y a de ça trois jour.
Penaud, c'est la queue entre les pattes que tu t'éloignas de la barrière. Vraiment, tu espérais que personne ne t'ai vu. On aurait pas fini de se moquer de toi dans la quartier, dans le cas contraire.
Et encore dommage. Un ricanement mauvais mit vite fin à ta requête muette sans espoir. Quand tu fus retourné, tu le vis alors. Tu ne l'avait pas vu longtemps, mais tu te souviens, hein ? De son corps svelte. Il n'était pas très haut sur patte. Pas non plus très grand. C'était un petit chat, oui. D'un certain âge déjà. Mais impressionnant. Tu voyais ses muscles rouler sous son pelage. Quel pelage d’ailleurs ! Une fourrure aile de corbeau. Propre et luisante. Mais qui était ébouriffée à certain endroit et où il manquait des touffes par ci par là. Des oreilles très grandes. Comme ses yeux. Ses yeux ! Ce dont tu te rappelle le mieux sans doute, avec ses longues griffes plantées de le bois de la balustrade où il était perché. Deux énormes billes océan au milieu de son petit visage. On pouvait y voir une froideur sans fin, ainsi qu'une lueur désagréable moqueuse.
Et il se retourna et parti. Sans rien dire. La dernière chose que tu vis fut sa queue touffue. Puis plus rien.
Alors ? Tu te souviens de ce chat, n'est-ce pas ? Oui, bien sûr. Comment l'oublier après tout. Personne ne le peut. Enfin, surtout ses yeux. Eux, tu auras l'impression qu'ils te regarde,encore et toujours. Qu'ils te traquent,même dans tes songes les plus profonds. C'était comme un châtiment, pour avoir croisé ces perles magnifiques. Le Châtiment du Damné.

Je sais pas. (ﾉ◕ヮ◕)ﾉ*:･ﾟ✧ Je verrai en cours. En français où on fout que dalle. (ﾉ◕ヮ◕)ﾉ*:･ﾟ✧